Une ouverture de saison en majesté avec une pièce chorégraphique visuellement sublime et techniquement axée sur les gréages (dispositifs en suspension) en quatre tableaux, dont deux solos et deux duos. On retiendra la pureté et la simplicité du geste jamais répétitif, jamais basculant dans la démonstration, la sensibilité de la relation entre les corps, et la présence d’un univers enveloppant et planant dans lequel les interprètes évoluent de manière aérienne en des mouvements qui évoquent lointainement la danse hip hop et les arts martiaux.
La Presse en parle.
Plus qu’un spectacle, une vision du monde…
PARTS, spectacle de lancement de cette nouvelle saison culturelle de l’Escale, de la compagnie Wang Ramirez, est structuré autour de quatre performances distinctes, chacune illustrant une dimension différente de l’expérience humaine. Les chorégraphies se caractérisent par une grande virtuosité technique, où les danseurs évoluent dans des environnements scéniques innovants. Ils intègrent des éléments tels que des échasses digitales et des tissus légers, ce qui ajoute une dimension presque onirique à l’ensemble.
Le souci du détail
La scénographie de « PARTS » est un élément central du spectacle. Chaque détail est minutieusement pensé pour offrir au public une expérience sensorielle complète, où le visuel et le sonore se répondent en parfaite harmonie.
La dualité au coeur du spectacle
D’un côté, Sébastien Ramirez apporte une rigueur structurale, tandis que Honji Wang insuffle une dimension plus expérimentale, presque philosophique, à leurs œuvres. Ce dialogue entre tradition et modernité confère à « PARTS » une profondeur qui résonne bien au-delà de la scène, touchant à des questions existentielles universelles.
Une compagnie à suivre !
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